Synopses & Reviews
Synopsis
Excerpt from Portraits Contemporains, Vol. 2
1811: fut une grande ann e, d'une influence d cisive sur beaucoup d'activit s et d'intelligences. Pour ceux dont le fl au de la Terreur avait ravag la famille et contrist l'enfance; sur qui Fructidor avait pass comme un dernier nuage sombre; qui s' taient mus aux r cits de Sinnamari et avaient salu avec esp rance le r tablissement du culte et des lois; pour ceux qui avaient pous le Consulat, mais non pas l'empire, et que cette dictature militaire comprimait comme un poids de plus en plus tonnant, pour ceux-l 1811; fut une joie bien l gitime, une d livrance. Ce qu'il y avait d'inou et de particulierement merveilleux dans ces retours de royales destin es et dans ces p rip ties qui, pour peu qu'on n'y oppos t pas de pr vention tr s contraire, semblaient ais ment une indication de la.
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Forgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.com
This book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.
Synopsis
Excerpt from Portraits Contemporains, Vol. 2
Pauvres hommes, infirmes dans vos grandeurs grands parce que vous tes infirmes, et infirmes parce que vous tes grands Philosophes ou po tes, penseurs ou chantres, ne vous mettez pas les uns eu - dessus des autres, ne vous exceptez pas, ne vous vantez pas Je lis dans un t moin oculaire qu'apr s la confection de cette machine arithm tique si bien mont e et qui lui co ta tant d'application et d'efforts, Pascal eut lui m me la t te presque d mont e pendant trois ans. Newton au milieu de lage ressentit, pendant des an n es, ce qu'il appelait son embrouillcment de cerveau. A d faut de d rangements physiques, ce sont les dou leurs morales qui arrivent comme une condition de la haute pens e, du' sentiment profond et du g nie. Pour peu qu'on chante, c'est parce qu'on a pleur . Des fibres saignantes furent l'origine les premi res cordes de la lyre; elles seront encore les derni res. C'est parce que la statue de Memnon tait bris e, qu'elle rendait un son l'aurore.
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